Perron de la Louise ou de la Fée

Historique et description de l'élément

Non Observé
Aujourd'hui cette pierre n'a pas été retrouvé à cause des débardages et autres travaux forestiers. Les personnes âges de Lacour d'Arcenay l'ont bien connu car elles venaient y jouer étant enfant (entre les deux guerres) mais à cause des changements, ils ne savent plus où était son emplacement.
Élément a retrouver

Localisation

Commune:
Lacour-d'Arcenay
Lieu-dit:
Le Chaluet
Localisation:
imprécise ( < 50m )

Contexte actuel

État de conservation:
inconnu
Menacé:
Oui
Monument protégé:
non
Site protégé:
non
Plan local d'urbanisme:
Non
Statut:
privé

Sources

Pierres à légendes de Bourgogne

Auteur:
Saintyves Pierre
Nature:
publication
Référence:
Les Editions du Pas de l’Anne - 1998

Pierres et Légendes de Côte d'Or

Auteur:
Vachon Patrice
Nature:
publication
Référence:
L'arche d'Or - Dijon, 1999

Développement local

Intégré dans un projet de développement local:
Non
Importance dans le cadre de la vie communale:
non
Proximité de prestataires touristiques ( < 3km ):
Non
Proximité d'un musée:
Non
Possibilité de stationner:
non
Accessible en voiture:
Non
Proximité d'un chemin de randonnée ( < 500m ):
Oui

Description du culte et rite

Description de l'élément:
enorme roche de forme elliptique, reposant bien d'aplomb sur un autre rocher enfoncé en terre. Deux grands trous creusés dans sa partie supérieure sont joints par un canal de 20 cm et le bassin le plus au bord est muni d'un déversoir
Existence ou non d'un rite:
Non
Nom et description de la légende:
On pouvait se placer sous le déversoir, grâce à une dépression du rocher, pour recevoir le sang qui provenait de l'immolation des victimes. Cette roche était d'ailleurs mal famée, car la Louise était une méchante sorcière qui faisait sa cuisine dans ses espèces de chaudron. La nuit montée sur la pierre et sous l'aspect d'une dame blanche, elle cherchait par ses cris à égarer ou effrayer les voyageurs. H.Marlot Les anciens de Lacour d'Arcenay disent que cette pierre servait de pierre de justice ey que l'on y coupait les têtes (entretien oral M. Bertrand).