Orme de Brévoigne
Historique et description de l'élément
L'Orme de Brévoigne était un carrefour très important aux temps anciens où passait entre autres la route du pèlerinage de Faubouloin.
Localisation
Commune:
Anost
Contexte actuel
État de conservation:
bon
Menacé:
Non
Monument protégé:
non
Site protégé:
non
Plan local d'urbanisme:
Non
Statut:
privé
Sources
Bulletin du Clocher d'Anost
Nature:
publication
Développement local
Intégré dans un projet de développement local:
Non
Importance dans le cadre de la vie communale:
important
Précisions sur le cadre de vie:
coonu
Etat des abords:
bon
Intérêts des abords:
très important
Précisions sur l'intérêt des abords:
carrefour de 5 chemins
Informations sur l'aménagement des abords:
oui
Proximité de prestataires touristiques ( < 3km ):
Non
Proximité d'un musée:
Non
Possibilité de visite:
oui
Possibilité de stationner:
non
Voies d'accès:
chemin privé
Accessible en voiture:
Non
Office de tourisme le plus proche:
Anost
Proximité d'un chemin de randonnée ( < 500m ):
Oui
Nature du chemin de randonnée:
GR 13
Type de chemin de randonnée:
VTT
Description du culte et rite
Description de l'élément:
Tilleul imposant s'élevant à l'intersection de cinq chemins au pied duquel se dresse une croix en bois.
Existence ou non d'un rite:
Non
Nom et description de la légende:
A cet endroit, les revenants hantent les lieux à minuit et dansent autour de la croix. Le curé Guillon revenait une fois de porter le Bon Dieu à un malheureux. Il était bien tard quand il arrivé près de la croix de l'Orme de Brévoigne au pied de laquelle se trouvait une fontaine. A cet endroit, voilà qu'il vit accourir une grande quantité de flambettes (feux-follets) qui l'entourèrent en criant sans relâche "bénis-nous, bénis-nous". Le curé vit bein que c'était là des âmes de petits enfants morts sans baptême. Il ôta donc son soulier et ayant puisé de l'eau dans la fontaine, il aspergea ces âmes en prononçant la formule sacramentelle du baptême. Les flambettes se mirent toutes à dire merçi puis ayant encore fait une ronde en manière de reconnaissance, elles laissèrent libre le chemin et s'envolèrent toutes dans les airs, probablement droit au ciel.