Un château ou motte féodale ou maison forte, d'origine imprecise, est attesté au lieu dit le toit des chevaux. L'élément se situait " à un angle de terre, qui s'avance entre " la Cure et le Chalaux. Le CeCaB cite deux archives: une en 1324 évoquant le fief de Rochebererteau (dénombrement par Guy Bouchet à Jean de Chastellux) et l'autre de 1385 citant les maisons de Rocheberteau et du Mont. Baudiau (v 1854) témoigne qu'à son époque, les fossés étaient "encore bien dessinés" et qu'ils " s'inondaient au moyen d'un barrage placé dans la rivière, au fond de laquelle, on découvrit de gros anneaux scellés dans des blocs de granit". D'après la mémoire locale, cet édifice serait une motte féodale qui aurait brûlée en 1100. Des pierres auraient servi a construire la grande maison bourgeoise de Marigny la Ville. Aujourd'hui, selon une personne ressource, l'emplacement est situé dans un bois en bordure du lac du Crescent et des amas de pierres sont encore visibles.